Notre histoire

West Optic, votre opticien depuis 3 générations …

L’histoire commence en 1946 avec M. et Mme Heitz qui inaugurent leur première boutique d’optique au 151 rue de Brabant. En 1950, le couple s’installe à Elisabethville et développe le commerce d’optique dans l’ensemble du Katanga.

La famille rentre en 1961 et reprend l’exploitation rue du Brabant. Quelques années plus tard, les enfants Michel et Françoise Heitz intègrent l’entreprise familiale.

En 1972, Michel Heitz fonde Optic Center qui deviendra, quelques années plus tard, West Optic, dans la nouvelle galerie commerçante le Westland Shopping Center d’Anderlecht. Maxime Heitz, le fils de Michel Heitz, intègre l’entreprise en 1994. Une nouvelle ère s’ouvre alors…

Agrandissement et nouveau décor des lieux, extension de l’équipe mais l’ADN de l’entreprise est toujours conservé. Maxime met un point d’honneur à perpétuer les valeurs de l’entreprise familiale: engagement, excellence, conscience professionnelle, disponibilité et innovation.

West Optic demeure aujourd’hui une institution dans le Westland Shopping. Depuis sa création, nous avons eu pour grande préoccupation de proposer des offres toujours mieux adaptées à notre clientèle, tout en conservant l’excellence et en combinant les technologies de pointe aux collections les plus tendances.

La décoration personnalisée et chaleureuse de cette boutique, sa qualité d’accueil, le choix de ses produits et la palette de ses services, classent West Optic comme l’un des meilleurs opticiens d’Anderlecht.

Le Westland Shopping d’Anderlecht a 50 ans : le magasin d’optique de la famille Heitz y est depuis le premier jour

RTBF – 30 août 2022 à 11:36

« Mon grand-père fabriquait déjà des instruments pour les opticiens. Et quand mon père a dû choisir une profession, comme il est rentré dans la société familiale, il s’est naturellement dirigé vers l’optique pour entamer sa carrière. Et ça lui a plu directement. » Après un magasin ouvert rue de Brabant à Schaerbeek, la famille Heitz part s’installer au Congo belge où elle poursuit ses activités dans l’optique avec une belle clientèle.

« Lorsqu’il y a eu l’indépendance du Congo, nous sommes rentrés en Belgique. Mon père a repris le magasin de la rue de Brabant où il avait installé un gérant », se souvient Michel. « Le retour a été difficile. Mais nous avons pu compter sur une clientèle d’anciens coloniaux qui nous est restée fidèle. »

Rue de Brabant et chaussée de Ninove avant le Westland

Lorsque la rue de Brabant commence à battre de l’aile, les Heitz décident de s’implanter chaussée de Ninove à Anderlecht, devant un arrêt de tram. « Ce magasin a très très bien fonctionné. Lorsque vers 1969, le bruit a couru qu’un centre commercial allait ouvrir à Anderlecht, craignant la concurrence vu la proximité, mon père s’est porté candidat à l’occupation d’une surface dans le shopping. Pour rappel, les commerçants anderlechtois avaient une priorité sur les autres. »

Coût de l’investissement réclamé par le promoteur Sodecoma à la famille Heitz : près de 700.000 francs belges. Colossal pour l’époque. « C’est bien simple : après cela, il n’y avait plus rien dans le porte-monnaie », sourit Michel Heitz qui a développé l’affaire depuis le premier jour. « Mon père était resté chaussée de Ninove et ne venait dans le magasin du shopping qu’une fois par an, pour l’inventaire. »

Après le grand-père, le père, le fils

En 1994, un nouveau collaborateur, Max Heitz, fils de Michel, pointe le bout de son nez dans les affaires familiales. « Il faut dire qu’il a grandi dans le magasin. Quand je travaillais, je ne le voyais pas beaucoup. Du coup, avec sa maman, il venait après l’école ici ou alors il était tout le temps fourré chez Christiaensen, le grand magasin de jouets qui se trouvait dans le shopping. »

La famille Heitz ne se voit d’ailleurs pas quitter le Westland pour aller ailleurs, dans un autre espace commercial. Ceux-ci ne manquent pas : City2, Basilix, Docks… « Moi, je suis un natif d’Anderlecht », enchaîne fièrement Max Heitz, 46 ans.

« Le shopping a ouvert en 1972, je suis né en 1976. J’ai grandi sur place. Et puis, je ne me vois pas non plus faire un autre métier. Pour moi, j’exerce le plus beau métier du monde. Pourquoi ? On a la chance d’avoir un commerce et une clientèle qui se déplace. A côté de cela, quand je compare le métier quand j’ai débuté en 1994 et maintenant, le métier a changé de manière spectaculaire, que ce soit au niveau de la fabrication des lunettes, de l’évolution des verres… Le métier était à la base très axé sur l’artisanat. Aujourd’hui, nous avons des machines qui nous permettent de réaliser un montage de plus en plus précis… Les marques de haute couture s’intéressent à la lunette également. Cela nous permet de travailler sur des montures plus originales. Sans oublier notre approche par rapport aux grandes chaînes, à la vente à Internet… Il a fallu se positionner et réagir tout au long de ces années… Ce métier est en évolution permanente et chaque période amène son nouveau challenge… »

Sans oublier les périodes plus compliquées du Westland dans son ensemble comme le Covid récemment, le passage au parking payant en 2015 (qui a fait fuir la clientèle) ou encore cette chute du plafond en 2017 occasionnant plusieurs jours de fermeture.